Le nettoyage à sec écologique
Le nettoyage à sec écologique sans solvant
Le nettoyage à sec est réputé non écologique du fait de son utilisation traditionnelle de [ Perchloroéthylène ]
Paris – 11 octobre 2013: Première solution permettant de substituer un lavage à l’eau aux traditionnels bains de solvants ou de perchloroéthylène pour nettoyer les vêtements fragiles (laines, soies, viscoses, fourrures, cuirs,…), Concord Textile révolutionne le monde du pressing et du nettoyage industriel en proposant une solution propre, biodégradable, à la productivité supérieure aux solutions existantes et nativement verte. Aboutissement d’un projet de recherche commencé au début des années 1990, la solution Concord est une nouvelle solution d’aquanettoyage hautement performante et simple d’utilisation.
Elle résout l’ensemble des soucis liés aux anciennes solutions d’aquanettoyage qui ne proposaient pas des résultats satisfaisant tout en éliminant tous les solvants nécessaire au nettoyage à sec. Cette solution autorise :
· Un Nettoyage « sec-à-sec » de tout type de textiles (nettoyage, séchage et finition en moins d’une heure)
· Des Besoin en pré-détachage réduit (notamment pour les tâches huilées) ;
· Une Facilité de finition similaire au nettoyage à sec ;
· Une Grande facilité d’utilisation : 3 programmes couvrent l’essentiel des besoins
· Economique: Seul un ou deux produits sont utilisés pour le cycle de nettoyage ; le séchage se fait à température basse ; seul un ou deux rinçages sont nécessaires par cycle de nettoyage
· Une Solution entièrement sans solvants pétrochimiques
· Des Résultats de nettoyage exceptionnels ;
· Une Productivité très élevée, supérieure au nettoyage à sec
· Une Solution éprouvée et utilisée avec succès aussi bien par des installations peu équipées en matériel de finition, traitant 50/100 pièces / jour, que par des installations de taille industrielle traitant plus de 1.000 pièces / jour.
Solution brevetée et testée dans différentes configurations de fonctionnement, la solution Concord Textile autorise donc un déploiement industriel ou commercial (pressing) d’un nouveau type de nettoyage n’utilisant aucun solvant pétrochimique ni silicone. Cette solution :
· Qui consomme moins d’énergie : les cycles de lavage et de séchage se font entièrement à basse température – respectivement de 20° à 25° pour le lavage et 40° pour le séchage. Ces cycles sont de plus très courts (20 min. pour le lavage (max.) et 25 minutes pour le séchage). Ils consomment ainsi
3 fois moins d’électricité qu’un cycle de nettoyage au solvant pour exactement la même quantité de textiles traités.
· Qui consomme moins d’eau :
la consommation d’eau n’est que d’1/3 de la consommation d’eau requise pour les solvants alternatifs pour la même quantité de textiles traités. Comparativement aux autres solutions d’aquanettoyage, la quantité de textiles traités en kg, pour la même quantité d’eau est supérieure de 30%, grâce aux attributs protecteurs de la solution Concord.
· Qui utilise moins de produits de nettoyage : pour un même cycle d’aquanettoyage (mêmes textiles traités en mêmes quantités) la quantité de produits utilisé est de 20% inférieure aux solutions d’aquanettoyage existantes, ce qui implique moins de transport, moins de packaging.
En France, il existe aujourd’hui 3 types de procédés de nettoyage utilisés par les enseignes de pressings : · le nettoyage classique ayant recours à l’usage du perchloroéthylène (substance classée cancérogène) qui rappelons-le à un taux de toxicité élevée. · le nettoyage dit « alternatif » n’utilisant pas de perchloroéthylène, mais des solvants alternatifs comme le Siloxane D5 (GreenEarth), le KWL ou encore le Rynex 3 E. ·
l’aquanettoyage qui n’utilise aucun solvant chimique.
Le Ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, confirme sa volonté de soutenir le développement des concepts de pressings les plus « verts », notamment en renforçant la règlementation sur l’utilisation du perchloroéthylène. Dans un communiqué de mai 2015, la ministre Ségolène Royal affirme vouloir interdire l’implantation de nouvelles machines utilisant cette substance, notamment dans des locaux contigus à des centres commerciaux ou à des immeubles d’habitation, et impose de changer les anciennes machines de manière progressive d’ici 2022, par l’arrêté 23-45 du 2 décembre 2012 (relatif à l’utilisation de solvants pour le nettoyage à sec et le traitement des textiles et des vêtements).
En parallèle, on observe une montée des procédés alternatifs qui continuent d’utiliser des produits chimiques. Notons que la FFPB (Fédération Française des Pressings et Blanchisseries) promeut, de son côté, dans un communiqué de juin 2015, les méthodes alternatives existantes, sans faire de distinction entre les procédés de nettoyage avec des solvants alternatifs, ou avec de l’eau. Ce que l’on peut retenir, c’est que ces deux méthodes ne présentent, pour le moment, aucun risque avéré pour la santé.
Le savoir ne vaut que s'il est partagé !!!
Pépito