Être ou ne Pas Être : Les Complices Médiatisés du Système !!!
Penser, dire, ou écrire que certains,
qu’on voit de façon répétée intervenir sur les plateaux de télévision ou dans les grands journaux, seraient des complices agissant en sous-main pour la gloire des élites et la victoire finale du système est-il justifié ?
Si on le pense, comme j’en parle parfois ici et certains commentateurs aussi bien que cela soit rare en quantité d’articles, à peine 3 sur 400 articles publiés dans les 6 dernières semaines sur divers sujets, quel est notre raisonnement ? Qu’est-ce qui sous-tend ce genre d’accusation ?
C’est en général un faisceau d’indices qui met la puce à l’oreille ou qui rend la chose assez évidente. Ces indices multiples, divers et variés, conduisent à des conclusions qui vont de la suspicion à la conviction profonde.
J’aimerais développer ici plusieurs raisons que je considère essentielles, significatives, majeures et rédhibitoires :
Le fait qu’on leur donne une tribune complaisante sur les medias nationaux aux mains des élites avec des apparitions répétées, et que ce temps de parole à l’antenne soit exclusivement utilisé pour propager la doxa qui sert les élites.
L’évitement total de certains sujets actuels d’importance historique qui font l’objet de développement d’ampleur dans l’économie, la finance, ou le social, comme si ça n’existait pas, alors que les experts présentés sont parfaitement au courant, mais que le jeu des élites est de le tenir caché jusqu’au dévoilement final, quand nous serons mis, nous peuples, en face du fait accompli.
Le développement de thèses qui au contraire servent au premier chef à conditionner l’opinion du public et celle des observateurs plus attentifs, comme les résistants, pour faire passer ultérieurement comme une lettre à la poste le fait accompli mentionné.
Il est évident que ceux parmi nous qui faisons le même métier que ces intervenants choisis par les médias complaisants au service exclusif des élites qui les financent et fait avancer leurs carrières pour leur servitude, il est évident donc pour nous que l’attitude, les thèses, les paroles et les efforts déployés pour nous tromper dénotent une complicité voulue délibérément.
Il est aussi clair et malheureusement totalement obscur pour les non-professionnels que la majorité des citoyens, dont une partie votent et dont certains sont à même de s’opposer par la révolte, n’y voient que du feu, abusés jusqu’à l’os.
Jusqu’ici les élites n’ont pas agi en dictature intégrale, elles ont fait avancer leur mainmise en sous-main, et ont privilégié la « soft power », le conditionnement de l’opinion publique de la majorité pour être un terrain propice à l’acceptation de leurs plans. Pire, souvent, la dialectique hégélienne avec la méthode de problème – réaction – solution est utilisée pour s’assurer du résultat et ne rien laisser au hasard de leur point de vue.
Ce conditionnement dont je parle ici a dû être fait par un travail de sape de longue haleine de petits soldats sycophantes, rétribués pour leurs contributions au grand-œuvre planifié par les élites par des honneurs, des plans de carrière améliorée, des postes avantageux et des compensations financières.
Marchez au pas cadencés au rythme de vos mensonges, les petit soldats. Les Alain Minc, BHL, Jacques Attali, Cohn Bendit le plus pourri d’entre tous, et les autres de la télé, les journalistes minables qui n’ont pas honte de leur servilité, forcément quand ils voient l’effet pour leur fiche de paie.
Il est à craindre que, plus la mainmise des élites se fera et resserrera le nœud autour du peuple, la dictature douce va muter en une dictature plus musclée.
Et que les populations seront modelées en nombre, domination exercée à leur encontre, et moyens de contrôle coercitifs.
Prenons un exemple parmi tant d’autres, le travail de ces complices porteurs de serviette dans le domaine économique et financier. Les éconoclastes pour ne pas les nommer avec Delamarche, Béchade, Sapir, Sabatier. Une équipe parfaitement rodée qui en jettent un maximum avec leur sabir économico-financier, opaque pour la plupart de leurs idôlateurs ébahis.
Ces gens-là sont donc crédibles pour la masse désorganisée, qui n’en a cure par ailleurs, et même pour les plus affutés y compris des gens de la dissidence mais qui ne sont pas eux-mêmes des experts de la chose économique et financière.
Actuellement, et de façon profonde, internationale, se produit un événement qui s’est produit de 1914 à 1930, à savoir le remplacement d’une monnaie de réserve par une autre, de la livre anglaise par le dollar américain. Également en 1944 à Bretton-Woods le système monétaire mondial, pilier essentiel de la domination des élites bancaires, a renforcé la toute puissance du dollar et des Etats-Unis.
Eh bien ce système est révolu et les experts suspectés de collusion le savent très bien. Pas un mot du déclin du dollar, des DTS, des plans machiavéliques des élites pour utiliser leur arme favorite appelée Greenspan Put mais utilisée à l’identique lors de la crise mondiale destructrice de 1929-1932 pour ruiner des dizaines de milliers de gens et paupériser les classes moyennes et désespérer les plus pauvres.
Au contraire, ces hérauts de la parole des élites contribuent à alimenter des raisonnements tronqués et installer la peur. Les mimiques et la rhétorique de Delamarche, éternel râleur apparent, qui joue avec ses interlocuteurs l’éternel jeu du « good cop, bad cop » et qui est payé pour, n’échappent pas à l’observateur affuté. Le bisounours, lui, est en extase et sera prêt le jour venu à se jeter comme un lapin subjugué sous les roues du camion qui va lui rouler dessus. En louant le Sieur Delamarche qui plus est, un comble de la béatitude de l’abusé heureux et satisfait.
La conclusion qu’on tire de ce jeu de bonneteau, ce que mon ami d’Alt-Market Brandon Smith, si perspicace, appelle le théâtre Kabuki, appartient à chacun. C’est sûr que si on ne voit rien, alors on ne voit rien.
Agrémentez le débat avec des digressions voulues et bien pratiques pour aider au jeu des élites comme « sionistes » ou autre chose du même tonneau, et vous avez un blob informe propice à faire avaler n’importe quoi, même le pire pour nos libertés.
Tout ce laïus pour dire que non, je n’ai pas changé d’avis sur les zozos des Éconoclastes, entre autres.
Algarath
Le savoir ne vaut que si il est partagé !!!
Pépito
Source : algarath.com