Une économie essentiellement basée sur la compétition continuera à perpétuer la violence et la haine
Soyons honnêtes: Nous devons choisir !!!
entre notre économie et notre futur !!!
Oublier les élections qui arrive !!!
L’heure est venue de créer un mouvement social qui mette la pression aux gouvernements et aux entreprises afin que l’accent soit mis sur la qualité de vie plutôt que sur la croissance économique...
A peine la rentre a sonne, que nous sommes déjà submergés par de mauvaise nouvelles .
Des rapports ont accumulés des preuves du risque que l’activité économique humaine fait peser sur la vie terrestre,
En expliquant que les 85 personnes les plus riches de la planète possédaient autant que les 50% les plus pauvres – et que le fossé se creusait en permanence. Sans parler des attaques contre notre liberté, des guerres en cour au Moyen-Orient et en Ukraine, et de la situation catastrophique des réfugiés. et j en passe !!!
La croissance est le mot clé perpétuel du forum économique mondial ( Davos ) de cette année comme des autres. Les représentants nous assurent que leurs propres profits sont vitaux pour la sauvegarde de l’humanité, tandis que nous, les gens ordinaires, continuons avec notre routine: nous conduisons jovialement nos voitures, nous réservons nos vols pour nos prochaines vacances et élevons nos enfants comme nous l’avons toujours fait.
Il semble que nous souffrions de déni collectif vis-à-vis des implications menaçantes de la réalité. Nous croyons toujours en cette vieille litanie selon laquelle la croissance et la compétition sont des bonnes choses, la technologie et les experts répareront tout et le capitalisme est la victoire ultime de l’histoire.
Les limites écologiques, les inégalités sociales croissantes, mais aussi la violence en hausse des fondamentalistes de tous bords, nous indiquent qu’il est grand temps de mettre en place une nouvelle économie et une nouvelle structure sociale.
Une économie essentiellement basée nos ressources !!!
Recherché un nouveau projet économique....
la décroissance, par exemple – puisse advenir, nous devons accepter qu’il ne reste plus que des options radicales. Nous devons choisir entre notre économie et notre futur.
Aujourd’hui même, la décroissance attire de plus en plus de monde, comme l’a illustrée la quatrième conférence internationale sur la décroissance et pour la soutenabilité écologique et l’équité sociale, de voila deux ans, à Leipzig.
Elle englobe bien des aspects communs à un certain nombre d’initiative populaires sociales et écologiques à travers la planète:
Remplacer la croissance économique par une idée holistique de bien-être
Se détourner de la production qui surexploite les ressources et de l’agriculture industrie Intégrer les problèmes sociaux et écologiques au lieu de les mettre en concurrence
Instaurer une démocratie réellement participative et la co-création
Préférer les petites solutions décentralisées avec retours rapides, relocaliser l’économie et décentraliser
Favoriser l’autonomie et la résilience
Créer des lieux de vies résilients plutôt que des emplois instables dans des chaines logistiques mondialisée
Le doute et l’hésitation sont issus du préjugé répandu selon lequel transformer le système serait irréaliste, vu les puissants intérêts des élites.
Les gens ordinaires se sentent sujets plutôt que maitres de leurs circonstances. Afin que la perspective d’une société de décroissance soit acceptée largement comme réaliste, nous devons accepter les points suivants:
Croissance et stabilité climatique sont incompatibles
La croissance perpétuelle n’augmente pas la prospérité
La croissance va de toute façon bientôt toucher à sa fin
Après un certain point, les coûts écologiques et sociaux du maintien de la croissance sont inacceptables
Les schémas de croissance et de consommation occidentaux sont de plus en plus réprouvés dans l’hémisphère Sud
Les « retombées économiques » n’existent pas
La « croissance verte » n’existe pas non plus
La décroissance ne signifie pas moins, mais différemment, c’est-à-dire répondre aux besoins de chacun de manière plus soutenable et équitable en utilisant moins de ressource
La décroissance n’est pas contre l’innovation technologique, mais requiert son administration démocratique et basée sur le principe de précaution.
Il est grand temps de prendre en main notre futur et de réaliser que notre système économique actuel fait partie du problème et ne peut donc faire partie de la solution.
Une bonne vie requiert que les besoins fondamentaux de tous soient sécurisés: nourriture, toit, affection, loisirs, protections, compréhension, santé, participation, création et liberté. Toutes ces conditions dépendent d’une planète saine.
En dépit de ce que les intérêts des corporations nous racontent, nous pouvons tous comprendre qu’une bonne vie ne requiert pas plus de trafic, des maisons plus grandes, et plus de gaspillage. On ne peut pas étudier les bénéfices de « plus de trucs » alors que même que nos écosystèmes sont menacés et que cela entraine une pauvreté extrême à certains endroits du globe.
Il est grand temps d’esquisser un vaste mouvement social qui mettrait la pression sur les gouvernements et le monde du commerce afin de modifier les productions et la consommation au bénéfice de tous.
Nous voulons la coopération au lieu de la compétition, le bien commun au lieu de l’intérêt des corporations, la solidarité au lieu de l’avarice, des relations sociales fortes au lieu d’une consommation insensée, une gestion intelligente des ressources au lieu d’un extractivisme, et la compassion au lieu de l’indifférence. Nous voulons moins de trafic, moins de méga-projets et plus de règles basées sur les communautés.
N 'oublier pas que les prochaine élection c est pour 4 ans ,
donc agissons avant
Le savoir ne vaut que si il est partagé !!!
Pépito