La Taxe carbone c’est pour sauver l’Union Européenne et l’agenda 21...
Comment les villes intelligentes
qui emprisonneront la population et l’interdiront d’avoir tout contact avec la nature, les animaux, ( c’est pourquoi les agriculteurs sont chassés de leurs terres agricoles via l’augmentation des taxes pour être obligé de partir en ville) sont financés par la taxe carbone qui fait générer des milliards de profit.
Pas étonnant que les multinationales ne font pas d’effort et continuent à polluer et s’oppose à toute forme d’autarcie du citoyen en l’interdisant de créer sa propre énergie sans CO2.
La preuve en Espagne, les citoyens sont interdits de déployer leurs propres panneaux solaires (énergie sans CO2 on le rappelle), car cela génèrerait une perte de profit de taxe de carbone pour l’Etat et les entreprises d’électricitéhttp://www.europe1.fr/international…
Pour la COP21 ou l’agenda 21, quand ils disent que" la pollution vient de l’homme" en fait, c’est uniquement le consommateur qui est visé, et c’est à lui de payer au final via les taxes inclus dans les prix des services, et pas les multinationales pollueuses qui font pression pour empêcher que les citoyens fassent leur propre énergie sans CO2, car cela ferait une perte de taxe de carbone pour l’Etat ( pour rembourser la dette à Bruxelles) et les multinationales.
Et avec tout cet argent, les entreprises financent des compteurs intelligents et autres gadgets intelligents pour fliquer leurs consommateurs jusque dans leurs chaumières en y invitant Google au passage qui aime investir dans tous ces objets intelligents connectés :
"Smarter Power : Google investit les réseaux intelligents"http://www.zdnet.fr/actualites/smar…
la COP21 Lobby Planet Paris : cartographie d’une COP21 sous influencehttp://multinationales.org/Lobby-Pl…
« Les marchés carbone, ou comment gagner des millions grâce à la pollution Une poignée d’industries très polluantes ont réussi un tour de force : convertir des millions de tonnes de CO2 en dizaines de millions d’euros, grâce aux systèmes d’échanges des « droits à polluer » mis en place dans l’Union européenne. Un pervers effet d’aubaine que dénonce un rapport listant ces nouvelles grandes fortunes du marché carbone. Et une belle arnaque à venir pour les consommateurs. » http://www.bastamag.net/Les-marches…
C’est pour obliger sans cesse les consommateurs à payer des taxes carbones à la place des entreprises qui en profitent pour faire augmenter encore plus le coût de leurs services.
« Dans les mois ou les années à venir, une crise politique et sociale majeure risque d’emporter les pays de la zone euro s’ils ne franchissent pas une étape supplémentaire d’intégration.
L’éclatement de la crise grecque a mis au jour des défis structurels, créant une crise de confiance dans la soutenabilité des dettes publiques : les créanciers ont perçu l’insoutenabilité des déséquilibres de la zone euro. Les taux d’intérêt ont alors atteint des sommets, jusqu’à créer un effet boule de neige : lorsque les taux d’intérêt dépassent la croissance du PIB, la dette s’autoentretient, sauf à dégager d’importants surplus budgétaires. Pour réaliser ces surplus, chaque pays a mis sur pied des plans de sauvetage drastiques, et l’intervention de la Banque centrale européenne (BCE) a fourni quelques mois de répit.
Pour le financer, on peut penser à la rétrocession d’un point de TVA, à l’instauration d’une taxe carbone et d’une taxe sur les transactions financières. Il sera alors possible de générer avec les projects bonds plus de 1 000 milliards d’euros pour investir dans des projets d’avenir, relancer une véritable croissance, proposer une vision motivante de l’Europe et créer les mécanismes de résolution des déséquilibres originels. En savoir plus surhttp://www.lemonde.fr/idees/article…
Bernard Barthalay, président de Puissance Europe (France) ; Aurélien Caron, président des Jeunes européens-France (France) ; Jean-Marie Cavada, président du Mouvement européen-France (France) ; Fabien Chevalier, président de Sauvons l’Europe (France) ; Catherine Colonna, ancienne ministre des affaires européennes (France) ; Daniel Cohn-Bendit, député européen, co-président du groupe des Verts/Alliance Libre Européenne au Parlement européen ; Olivier Ferrand, président de Terra Nova (France) ; Pauline Gessant, présidente des Jeunes européens fédéralistes (France) ; Simone Harari, présidente d’Effervescence (France) ; Guillaume Klossa, président d’EuropaNova (France) ; Philippe Laurette, président d’honneur de l’association Jean-Monnet (France) ; Philippe Le Guen, directeur de l’association Jean-Monnet (France) ; Henri Malosse, président du groupe employeur au CESE (France) ; Yves Mény, ex-président de l’Institut universitaire européen (France) ; Dominique Reynié, président de Fondapol (France) ; Benoît Thieulin, président de La Netscouade (France) ; Jacques Ziller, professeur de droit européen à l’université de Pavie (France) ; Giuliano Amato, ex-président du conseil italien (Italie) ; Emma Bonino, vice-présidente du Sénat italien, ancien ministre des affaires européennes (Italie) ; Rocco Cangelosi, ambassadeur, ex-représentant permanent à Bruxelles, ex-conseiller diplomatique du président de la République d’Italie (Italie) ; Pier Virgilio Dastoli, président du Mouvement européen-Italie (Italie) ; Monica Frassoni, co-présidente du parti des verts européens (Italie) ; Jean-Guy Giraud, président de l’Union des Européens Fédéralistes-France ; Sandro Gozi, responsables des affaires européennes du Parti démocrate italien, vice-président du Mouvement européen-Italie (Italie) ; Alberto Majocchi, professeur, université de Pavia, ex-président de l’Institut d’études et d’analyses économiques (Italie) ; Romano Prodi, ex-président du conseil italien (Italie) ; Alberto Quadrio Curzio, professeur, université Cattolica, vice-président de l’Accademia dei Lince (Italie) ; Barbara Spinelli, journaliste et écrivain (Italie) ; Anne-Marie Lizin, président honoraire du Sénat de Belgique (Belgique) ; Stefan Collignon, professeur à l’Ecole des hautes études de Sant’Anna (Allemagne) ; Evelyne Gebhardt, députée européen (Allemagne) ; Ulrike Guérot, conseil européen des relations étrangères (Allemagne) ; Jo Leinen, député européen, président du Mouvement européen international (Allemagne) ; Enrique Barón Crespo, ancien président du parlement européen, ex-président du Mouvement européen international, président de la Fondation européenne pour la société de l’information et l’administration publique (Espagne) ; Pasqual Maragall, ex-président de la Généralité de Catalogne, ex-maire de Barcelone (Espagne) ; Francisca Sauquillo, ex-députée européenne (Espagne) ; Anna Terrón, ex-députée européenne, ex-secrétaire d’Etat à l’immigration et à l’émigration (Espagne) ; Carlos María Bru Purón, président du Mouvement européen-Espagne, ex-secrétaire d’Etat aux affaires européennes (Espagne) ; Haris Pamboukis, ex-ministre du gouvernement grec (Grèce) ; Michel Rocard, ancien premier ministre français, ancien député européen. Jacques Attali, président de PlaNet Finance, Pascal Lamy, directeur général de l’Organisation mondiale du commerce… »
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article…
En Australie, ils ont réussi à faire abolir la taxe carbone :
« C’est une grande nouvelle pour les familles australiennes et les petites entreprises de notre pays", déclare Tony Abbott, qui promet une économie de près de 550 dollars australiens (380 euros) par ménage en un an. Les industriels avaient répercuté le coût de la taxe sur les prix de vente aux consommateurs. Le prix de l’électricité a augmenté de plus de 10 %, le prix du gaz de 9 % en deux ans alors que les effets sur les émissions n’étaient pas (encore) visibles, d’où l’impopularité de la taxe carbone.
Le Premier ministre promet donc une baisse du prix de l’électricité et du gaz et prévoit des sanctions pouvant aller jusqu’à 1,1 million de dollars pour les entreprises qui ne répercuteraient pas l’allègement dû à la fin de la taxe sur leurs prix. » http://www.lepoint.fr/environnement…
NON à la taxe carbone, signez la pétition !https://www.contribuables.org/2009/…
Le savoir ne vaut que si il est partagé !!!
Pépito